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conseil régional ile de france - Page 21

  • LOI SUR LA METROPOLE DU GRAND PARIS : VANVES DEFEND L’INTERCO

    Le Conseil municipal de Vanves devrait voter un vœu ce soir lors de sa réunion (à 19H à l’Hôtel de ville) sur le projet de loi concernant la métropole du Grand Paris dont la seconde lecture devant le sénat commence cet après-midi à 15H. Il s’agit pour le maire  de défendre l’intercommunalité et notamment GPSO mais aussi son rôle car il risque d’être déposéder de tous ces pouvoirs pour devenir un simple maire d’arrondissement, et de ne plus avoir, surtout,  la maîtrise de l’urbanisme et de l’aménagement de sa ville. Il sera très intéresant de scruter le vote de l’opposition ce soir, car au conseil régional, Vendredi dernier, c’est le Front de Gauche/PC qui a présenté un tel vœu soutenu par EELV, l’UMP et l’UDI, le PS votant contre contre avec le PRG et le Parti de Gauche. Ce vœu  souhaitait tout simplement  « que la création d’une nouvelle structure métropolitaine aille de pair avec le renforcement du processus intercommunal. Ces intercommunalités de projet, lieux de coopération et d’élaboration stratégique, doivent être la base même de la construction métropolitaine ».  

     

    Pour la Région « elles constituent une échelle pertinente pour la mise en œuvre de projets et de stratégies de territoire partagés, elles sont des meilleurs leviers pour concrétiser des projets d’aménagement ambitieux » comme le rappelait le rapport de la commission Scénarii pour la Métropole. « L’évolution institutionnelle nécessaire de l’Ile de France ne peut se dispenser d’associer des partenaires aussi essentiels, aux côté de la Région, qui doit voir ses compétences confortées. L’heure est aux avancées concrètes, tout en laissant le temps de trouver la meilleure forme de représentation démocratique des citoyens, la meilleure forme d’association des acteurs locaux, dans une démarche ascendante »… Les écologistes qui ont voté ce vœu, expliquaient « qu’ils militent depuis longtemps pour le renforcement et la généralisation des intercommunalités. Ils souhaitent en faire un échelon central de la démocratie locale à travers l'élection de leurs membres au suffrage universel ».

     

    Dans une tribune paru le 26 Juillet dernier dans le Figaro, les maires des communes de GPSO, dont Bernard Gauducheau,  dénonçaient «  Un retour en arrière qui verrait Paris imposer à la banlieue ses logements sociaux, ses cimetières, ses ordures ménagères, ses entrepôts. Est-il envisageable, au regard des grandes lois de décentralisation qui ont transfiguré notre paysage institutionnel, alors qu'un grand mouvement intercommunal est irréversiblement engagé, et à la veille de l'élection des élus communautaires au suffrage universel, de voir l'acte III de la décentralisation s'ouvrir, à contretemps, sur une recentralisation sans précédent des pouvoirs locaux en Ile-de-France? » et d’ajouter : «  Dans le même ordre d'idée, espérer qu'il soit possible de balayer d'un revers de main dix années d'intercommunalité, portée notamment par les communautés d'agglomération franciliennes, est pour le moins utopique. Celles-ci se sont affirmées comme une modalité d'organisation du niveau communal. Elles sont désormais incontournables dans le paysage local d'IDF de par l'efficacité et l'ampleur du travail mené. Il serait injuste de mépriser ce travail. Il serait absurde de le mettre à bas, surtout si c'est sous couvert d'efficacité ».

     

    Le 20 septembre dernier, la majorité des 132 élus franciliens membres du Syndicat Mixte Paris Métropole (sur 207) présents à Boulogne, votaient un vœu qui dénonçait  ce projet, appelait « à respecter l’identité et le rôle des communes, premier lieu de la démocratie locale », tout en reconnaissant que « l’échelon métropolitain est désormais indispensable pour conforter et développer l’attractivité de l’agglomération parisienne, répondre à la grave crise du logement qu’elle connaît, assurer la solidarité entre les territoires qui la composent, faire face au défi climatique auxquels sont confrontées les grandes métropoles ». Mais, dans le même temps, ils insistaient sur le fait que ses territoires qui « constituent le moteur de son dynamisme et de son développement »  doivent également « continuer à porter les acquis d’une coopération intercommunale, fruit pour nombre d’entre eux, de plus d’une décennie de travail collectif »… « Il s’agit don d’articuler ces deux échelles, métropolitaine et territoriale, dans un modèle original  capable de relever efficacement les défis d’une métropole-monde ». Ils proposaient une démarche progressive et volontaire permettant « de construire la métropole selon une démarche ascendante en s’appuyant sur des territoires pleinement acteurs et responsables (EPCI,  communes…) », « d’achever la carte intercommunale en Ile de France ».

     

    Dans les coulisses de cette réunion, les leaders de Paris Métropole n’avaient pas de mots assez durs vis-à-vis du Parlement et surtout du Sénat expliquant « qu’on a été déçu par le vote du Sénat (qui démolissait) et choqué par le vote de l’assemblée nationale qui reprenait à rebours notre démarche. On nous a reproché de ne pas avoir abouti à un projet. Mais c’était une démarche qui s’appuyait sur les intercommunalités, et il fallait les finaliser même si elles n’étaient pas parfaites ».  En tous les cas, dans cette affaire du Grand Paris, deux camps s’affrontent, selon un observateur bien averti : « D'un côté, les partisans d'un Grand Paris bien net, bien carré, bien dégagé derrière les oreilles, comme l'ont défendu Nicolas Sarkozy (qui a prôné une communauté urbaine dès 2007) ou Philippe Dallier et Claude Bartolone (fusionneurs de départements). De l'autre, les défenseurs d'une politique des petits pas, des rapprochements volontaires, de l'intercommunalité fondée sur le projet. Ceux, en somme, qui ont pris le temps de créer le syndicat mixte d'études Paris Métropole ».

  • LA RENTREE 2013 A VANVES : A MICHELET, LA QUESTION O COMBIEN BRULANTE DES EQUIPEMENTS SPORTIFS !

    L’actualité politique de la Rentrée a curieusement mis le lycée Michelet sous les projecteurs lorsque  Valérie  Pécresse présidente du groupe UMP au Conseil Régional d’Ile de France s’en est pris à l’exécutif de gauche sur les retards de livraison de chantiers de certains lycées, la baisse des investissements pour les lycées et les places d'internat non réalisées en prenant l’exemple de ce lycée Vanvéen : « Alors que l’éducation et la jeunesse devraient être des priorités pour la région, jean Paul Huchon a laissé les lycées à l’abandon depuis plusieurs années et la situation empire en 2013. Ainsi, 50 lycées franciliens sur 469 dépassent leurs capacités d’accueil. Exemple le plus criant: le lycée Michelet de Vanves compte 316 élèves de trop.  Et l’on constate dans nombre d’établissements, des problèmes de sécurité, de vétusté, d’isolation sonore qui ne permettent pas aux jeunes d’étudier dans de bonnes conditions. Ce qui joue sur le climat régnant dans ces lycées ». Son proviseur reconnaissait lui-même que son lycée était à saturation et devait face à une demande pressante lors de l’entretien accordé au Blog Vanves Au Quotidien. Mais ce problème n’est pas nouveau. Il avait, à cette occasion, parlé des installations sportives de son établissement qui est aussi un sujet d’actualité brûlant à Vanves.  

     

    Occasion de rappeler qu’au moins deux collectivités veillent sur le devenir de Michelet, en dehors de l’Etat et du ministère de l’éducation : « Comme nous sommes une cité scolaire, le collège dépend du conseil général des Hauts de Seine,  le lycée et les classes préparatoires du Conseil Régional Ile de France. Ses deux collectivités se sont engagées financièrement dans cette rénovation des installations sportives  au prorata des effectifs (1/4 pour le département et 3/4 pour la Région). Nous sommes inscrits dans le PPI (Programme Prévisionnel d’Investissement)  2013-23, la décision politiquement parlant de rénover ses installations sportives, ayant été prise. Les dossiers sont instruits par les services compétents sachant que nous sommes actuellement sur l’étude de faisabilité et sur la programmation » indique Patrick Sorin qui ne cache par l’ampleur du dossier : « Cette affaire concerne la rénovation des installations extérieures, la remise aux normes du bloc sportif, gymnases et piscine datant de 1975 qui nous crée beaucoup de soucis.  Dans cette phase de négociation avec les services, il faut se mettre d’accord précisément sur la nature des travaux, qui feront l’objet de chiffrages, d’une planification dans le temps car tout ne se fera pas d’un seul coup, sachant que  nous en aurons pour 5 à 6 et même 7 ans » ajoute t-il. Une réunion de synthèse sur l’opérationnalisation de ce dossier de réhabilitation devrait avoir lieu au cours de ce dernier trimestre 2013.

     

    Parallélement à ce dossier de réhabilitation, il a dû gérer le dossier de l’ouverture de ces équipements sportifs, hors période scolaire, aux sections sportives du Stade de Vanves : « Lorsque je suis arrivé à Michelet, en 2004/05, le dossier des installations sportives était déjà brûlant. Il y avait eu une première démarche, initié à l’époque par le conseil général des Hauts de Seine qui avait alors la maîtrise des opérations assez bizarrement, et qui a renoncé à ce projet. J’ai bien vu qu’entre 2006 et 2009/10, il était devenu de plus en plus compliquée, avec d’ailleurs une nouvelle équipe régionale, de faire avancer les intérêts de Michelet.  Ce conseil régional de gauche qui a en charge maintenant 471 lycées, mais aussi trois académies dont Créteil qui est l’une des plus importantes de France, avait légitimement des priorités différentes, par rapport à des enjeux d’égalité des chances » a-t-il constaté.

     

    Ce qui l’a conduit à  jouer une autre carte : « J’ai commencé par expliquer aux professeurs d’APS qui étaient un peu hostile au départ – « ce sont nos installations, personne n’y touche » -  que cette période était révolue, qu’il fallait s’orienter vers la mutualisation, car les investissements sont très lourds, l’argent ne coule plus à flot au niveau des collectivités territoriales, y compris la Région, malgré un budget très conséquent. Il faut que l’on fasse la démonstration que les euros investis vont profiter au plus grand nombre. Par application de ce principe, je me suis retourné vers le maire de Vanves, dont la ville fera partie des financeurs, en participant à cette rénovation. Et j’ai donné mon accord pour que la mairie de Vanves et ses sections sportives puissent bénéficier des installations sportives le plus possible en dehors du temps scolaire. C’est ce qui a d’ailleurs intéressé la Région, ce qui nous a permis d’emporter le morceau » ne cache t-il pas.

     

    « Il va falloir maintenant que l’on invente des conventions de partenariats car le partage d’installations implique des modalités d’organisations, d’entrées dans l’établissement, de sécurisation, de contrôle, de maintenance ». Des sections du Stade de Vanves, comme la Natation, utilisent déjà ses équipements sportifs, les gymnases, la piscine jusqu’à 22H. Expograph devrait faire entraîner son équipe féminine de football  dés la mi-Septembre… « C’est une utilisation intelligente des deniers publics. En même temps, je suis très attaché à ce qu’on ne touche pas au patrimoine de l’établissement. Cela reste Michelet. Et Michelet met à disposition dans le cadre de conventions librement signés, des ressources » prévient il..

  • PREMIERES JOURNEES DES VACANCES D’ETE 2013 A VANVES : Ses débats politiques, ses travaux et ses points chauds !

    Cette chaleur et ce soleil retrouvés et tant attendus, c’est peut être trop d’un seul coup. Les vanvéens ne s’en plaignent pas qui traînent le soir sur les terrasses des cafés et des restaurants. Mais la vie et l’actualité continue, bien au contraire avec Djamel Mastourin champion paralympique de Vanves qui défile dans la garde au drapeau de l’Ecole Inter Armées, le 14 Juillet, au lendemain d’un feu d’artifice tiré ce soir dans le parc F.Pic 

     

     

    GRAND PARIS METROPOLE : Des maires altoséquanais ont commencé à réagir au projet de loi qui sera débattu à partir du 16 Novembre à l’Assemblée Nationale sur Grand Paris Métropole : Vœu d’opposition à Boulogne la semaine dernière, conseil municipal extraordinaire à Neuilly jeudi soir, où son collégue UDI explique très clairement : « La commune ne sera plus que l’échelon d’application des multiples schémas régionaux et de la politique métropolitaine. Cela remet gravement en cause le principe de non tutelle d’une collectivité sur une autre et va à l’encontre du principe d’initiative qui fonde l’engagement des élus locaux pour leur territoire ». Il  en a été question lors des bureaux de Paris Métropole et de GPSO ces derniers jours. Et Bernard Gauducheau, maire de Vanves a enfin réagit sur ce sujet : « le remède est pire que le mal ! Pour mettre fin au mille feuille administratif et pour paraphraser De Gaulle, on veut imposer le « machin » qu’on appelle Métropole du grand Paris! » explique t-il car à ses yeux ce projet nie la légitimité des communes, cellules de base de la démocratie française, signe l’arrêt de mort des EPCI construites au cours des dernières années sur la base de partenariats de communes volontaires en les privant de leurs compétences, crée une région Ile-de-France a deux vitesses avec une métropole du Grand Paris concentrant tous les pouvoirs et des pans entiers des territoires de grande couronne laissés de côté, et menace l’autonomie des communes franciliennes, dont les représentants sont pourtant les élus du Suffrage Universel.  « les  Maires qui sont en première ligne des problèmes quotidiens et en lien direct avec la population seront relégués au second plan sans le moindre pouvoir pour défendre leur concitoyens ». Et d’ajouter : « La future Métropole sera un échec si elle ne tire pas profit de l’expérience et de la cohérence de ses territoires, des intercommunalités franciliennes qui se battent avec succès à l’instar de la Communauté d’Agglomération Grand Paris Seine Ouest dont fait partie Vanves, depuis leur création, pour défendre parallèlement la compétitivité de la Région Capitale, les services publics locaux et la qualité de vie des franciliens »

     

    RESERVES PARLEMENTAIRES : Il est en beaucoup question ces jours-ci notamment avec la publication grâce à l’association Pour une démocratie Directe, sur Internet du détail des subventions allouées aux collectivités locales par les 925 députés et sénateurs au titre de la Réserve Parlementaire en 2011. Ce qui représente 150 M€ allouée aux collectivités locales, ne prenant pas en compte ce qui est versé aux associations. A noter que l’absence de collectif budgétaire 2013 décidé par le goivernement Ayrault a quelque peu gêné nos parlementaires sur ce plan là. Les subventions allouées vont de 50 à 200 000 € pour une moyene de 14 798 €. Vanves a bénéficié en 2011 de 3 subventions au titre de la réserve palementaire grâce à André Santini député UDI pour le terrrain synthétique J. Saccard au PMS André Roche (20 000 €), à Denis Badré alors sénateur UDI pour la rénovation du pavillon du parc F.Pic et l’aménagement de ses abords (25 000 €), et à Isabelle Debré sénateur UMP pour la réfection de l’étanchéité de la terrasse de la créche Boule de Gomme (43 420 €). Cette dernière a eu l’occasion de faire bénéficier de la réserve parlementaire d’autres communes en 2011 : Sévres pour l’aménagement des locax destinés à l’épicererie sociale (50 000 €), Suresnes pour la Rénovation des menuiseries extérieures de la halte-gardeie Aladin  (40 000 €).  André Santini en a fait bénéficier sa ville d’Issy les poulineaux pour la construction de la piscine dans le cyber éco quartiier du Fort (40 000€), et l’aménagement d’un espace dédié à la famille dans l’ancien commissariat de police ( 40 000 €), ainsi que Meudon pouyr la réfection des terrains de rugby en gazon synthétique (20 000 €). Ainsi le député de Vanves a ainsi distribué prés de 120 000 € et la sénateur de Vanves plus de 120 000 € en 2011  

     

    CHANTIERS : A Vanves,  ce sont les chantiers qui marquent le quotidien de ses habitants, dans nos rues, et sur de nombreuses parcelles des rues Aristide Briand, Jean jaurés et Solférino pour les plus spectaculaire, ainsi que dans les bâtiments publics dont les écoles bien sûr pour profiter des vacances scolaires. La Ville a d’ailleurs fait appel à la réserve parlementaire justement pour deux d’entre eux, en 2013  : Le TCE au 1er étage de l’école élementaire Marceau : Il s’agit de remettre en conformité le bâtiment avec les diverses réglementations en  matière d’hygiénen, de sécurité, d’environnement et de permetre l’optimisation des performances énergétiques du bâtiment conformément à l’agenda 21 – PCET Lancé par le Ville. Les travaux consisteront en la réfection compléte du 1er étage afin de mettre en sécuirité les locaux par le désiamantage des dalles de sol, remettre à niveau les équipements électriques (éclairage, prise …) ainsi que les peintures, revêtement de sol et faux plafond, mettre econformié les sanitaires de cet étage et créer un ascenseur pouyr satisfaire à la réglementaion accesiblité PMR, d’isoler les façades par l’extérieur ( coût total :  468 971 €). Et de la deuxiéme phase de rénovation de l’école élémentaire Larmeroux : Outre la mise en accessibilité du bâtiment et la réfectin du 1er étage, il s’agit des travaux d’isolation de la façade par l’extérieur, car il s’agit d’optimiser les performances énergétiques du bâtiment (459 866 €).

     

    SPORTS : Sur le plan sportif, Aviators-Vanves-GSPO a signé un contrat de 3 ans  avec leur nouvel équipementier sportif Macron. « Cette  marque italienne, spécialiste des sports collectifs, équipe notamment l'AS MONACO (foot - Ligue 1), WEST HAM UNITED (foot - Premier League), ainsi que de nombreux clubs de basket italiens et Orléans en France (pro A). Ce partenariat lance la saison 2013-14 des Aviators dont l'ambition première reste d'accéder à la NM1 dans les deux prochaines saisons. Après avoir échoué d'un petit point à une nouvelle participation aux playoffs l'an passé, les joueurs de Vanves - Grand Paris Seine Ouest et leur staff sont particulièrement motivés » indiquait un communiqué de presse récent.